Dire que je vais passer tout l’été avec elle
Je parie qu’elle ne sait même pas boxer !
Qu’il est prétentieux, qu’il est superficiel
Je voudrais attraper la varicelle
Quel bonheur d’être ici
Enchantée de vous voir
C’est un vrai cauchemar
Quelle idée bizarre
De nous faire tomber dans ce traquenard
Les enfants semblent s’entendre
Quel Bonheur !
Déclanchons dans leur cœur le grand déclic
Mon très cher William, c’est le point stratégique !
Une union monarchique et politique
Nous sommes tous deux d’accord
Unissons nos efforts
Quelle idée géniale
Ça c’est mon idée…
Ça c’est MON idée
Royale
Allons, ma fille ne traîne pas
Arthur t’attend, hâte-toi
Je n’ai pas lavé mes cheveux
Et j’ai un peu mal au cœur !
Un peu de respect, tu veux, Ah !
Ne blesse pas leur honneur
Ne me demande pas de sourire,
Cette fille me fait vomir !
Un jour, le futur sera le prince Arthur
Mais comment faire pour se débarrasser d’elle ?
Eh ! Attendez-moi !
Cours, dépêche-toi !
Je n’aime pas, ni moi, ce vilain canard
C’est le moment de déclancher la bagarre
Pas de Filles !
Vous pouvez être fiers !
On en a rien à faire !
Je hais les garçons !
Quelle idée bizarre
De nous faire vivre un tel cauchemar !
Cette union parfaite, d’Arthur et Juliette
N’est pas le fruit du hasard
Pourtant chacun de nous peut voir
Que le point sur lequel ils sont toujours d’accord.
C’est l’idée de réunir leur sort
Est bizarre
Elle voudrait qu’à sa guise je me déguise
Elle flirte sans vergogne avec les gardes
Elle te fera perdre jusqu’à ta chemise
Je préfèrerais plutôt qu’elle perde aux cartes !
Un dix et quarte sept
J’ai gagné, je regrette
C’est un vrai cauchemar !
C’est une belle victoire
Ce n’est vraiment pas le fruit du hasard !
.
A cette union couronnée,
Nous rêvons d’être invités
Souhaitons qu’on ait un jour férié
Pour boire, danser et chanter
Leur cœur unis pour la vie
Formerons un seul pays
Espérons, quand ils seront mariés
Que nos impôts vont baisser
Et si Juliette me refusait ton fiston ?
Insistons
Aussi loin que je me souvienne
On nous parle de mariage
Dès que les mois d’été reviennent
Ils nous entraînent dans leurs engrenages
En oubliant coutumes et usages
Je ferais bien mieux, ça j’en suis sûr
Qu’il est immature
Il a un sourire qui me fait défaillir
Je lis son cœur et j’en oublie ma peur
Le vilain canard qui rechigne et trépigne
A aujourd’hui une ligne digne d’un cygne
Ravie et enchantée…
Je n’avais pas idée
Que les rêves avaient ton visage
Quelle idée géniale
Quelle idée royale
Quelle idée géniale, idée royale et triomphale, matrimoniale
Quelle idée géniale quelle idée royale
C’est phénoménal comme un élixir de vie conjugale
C’est l’idée que l’on appelle l’Amour…
Idée étincelle
Idée éternelle
Cette idée s’appelle l’Amour…
.
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Arthur Juliette Hubertta William Barnabé Arthur et Juliette
Hubertta et William Arthur et Barnabé Le peuple et les domestiques